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Pink Aristocraty [Trooy]

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Invité

Anonymous








Pink Aristocraty [Trooy] Vide
MessageSujet: Pink Aristocraty [Trooy] Pink Aristocraty [Trooy] Icon_minitimeMer 18 Nov - 4:44

    {Luka Megurine – La Dernière reine~
    I flare magnificenty, Burn immediately
    I shall show you everything in me
    I give you the end of the world,nameless songs
    Take you the endless dream”


    Qu’avais-je à faire aujourd’hui … ? Ezequiel m’avait bien demandé de faire quelque chose, il me l’a clairement dit. Je crois même qu’il me l’avait écrit. Maintenant, c’est de savoir où j’ai mis se foutu bout de papier ! Peut être l’ai-je égaré… Ce ne serait pas la première. J’attrapai ma tête rosée dans mes paumes. Stupide, stupide, stupide Yulee ! Si seulement je n’avais pas dessiné hier. Mais je n’avais pas pu y résister ; C’était un beau petit chat, tout noir, il était près l’une des clôtures entourant Rosaly’s. Il n’y en avait pas tout le tour, mais suffisamment pour que je change d’avis si je désirais m’enfuir. J’ai été tenté plusieurs fois mais… Pour aller où ? Je n’ai plus de famille, donc probablement plus d’argent. Je n’ai pas d’ami ni de personne que je pourrais visiter. J’étais seule. Et puis en plus, ici, j’étais ; Payé, logé, nourris et tout cela, gratuitement ! Je n’avais seulement pas le droit de m’enfuir. J’étais… Une prisonnière !

    Je cherchai vainement sous mon matelas, dans mes trois où quatre couvertures. Je sais, en plein été c’est beaucoup, mais j’attrape rapidement froid. Je suis une grande frileuse ! Je vérifiai entre les pages de mes divers cahiers à dessins. Toujours rien. Mon étui à crayons. Mais où peut-il bien être ? Je tentai mon coup à la cuisine, peut être l’avais-je laissé là-bas… Qui sait !? Je me laissai tomber sur les fesses, en tailleur au milieu de la pièce. Une cuisinière qui passait par là me dévisagea un moment, septique. Elle saisit une cuiller en bois et tapa ma tête, me sermonnant de ne pas bloquer le chemin et qu’elle ne voulait pas me le dire une cinquième fois. Je déguerpis aussi vite qu’un lapin. Je frottai ma crinière pâle pour faire partir la douleur. Va, va et part méchant bobo !

    Je soupirai. Tant pis alors ! Ce devait être quelque chose comme ; Fait le ménage. Tâches que je n’aimais pas faire, mais au risque de me faire couper la tête, j’obéissais. Quand je m’en souvenais. Mais à quels moments dis-je donc la vérité ? Je mens pour mon plaisir, j’en subis les conséquences à mon grand désarroi. Je traversai Rosaly’s, vide à cette heure-ci. Ce n’était que le matin, les fins rayons du soleil perçaient les rideaux clos du salon. J’ouvrai la porte d’un placard et y fouillai. Distraction ? Distraction ! Les deux jambes en l’air, le buste bien enfoncé dans la pile d’objets, j’étirai mes bras pour attraper un ballon. Je poussai de faibles gémissements aigus, agitant mes pattes derrière moi, comme si cela allait m’aider. Je le saisis finalement entre mes ongles colorés et ressortis indemne de cette petite aventure.

    Je ne suis pas retardée. Je tente seulement de trouver des jeux !

    Je ne me comporte pas en adulte, à mon âge ? Je ne suis traité que comme une enfant, alors à quoi bon ?

    Je fermai la porte du placard avec peine, sans prendre l’effort de tout replacer. Je courrai après la grosse balle arc-en-ciel qui s’enfuyait vers la porte. Je ris, j’étais heureuse. J’ai trouvé un nouveau jeu ! Maintenant je ne serai plus embêté par les autres méchants vampires, puisque je ne dessine pas. Et comme je n’ai pas de crayons entre les doigts, ils ne pourraient pas se fâcher ; Les catastrophes arrivaient seulement si j’esquissais ! Je continuai de rigoler, alors que je n’étais même pas sortit dans le jardin pour le lancer contre le mur, le rattrapant au bond ! Je soupirai comme un bébé. Je venais à peine de me lever, les matins étaient durs.

    Ouvrir les yeux sur cette horrible chambre qui m’était attribuée. J’étais perdue, je me demandais où étais-je, sans réponse. Jusqu’à ce que je tourne la tête, avec le peu de force que j’avais accumulée. Je constatai alors que j’étais dans une prison. J’imaginai les barreaux aux fenêtres, une serrure sur la porte. Mon visage s’attrista à cette pensée négativement. Je serrai mon nouveau ballon contre ma poitrine, silencieuse. J’étais toute seule… Ils me prenaient tous pour une folle, un danger public. Sortir me manque ! Je veux aller à des fêtes, faire du shopping et être avec des copains ! Pourquoi n’y avais-je plus le droit ? Je dois avoir trois à cinq fois l’âge de certains vampires ici, et je suis enfermée depuis à peine quelques années. Durant les années passées, la Terre n’a pas cessée de tourner, non ? Je battis des paupières pour me réveiller et me remis sur mes petits pieds.

    À grands pas, je traversai la le manoir une nouvelle fois. Je passai la porte arrière et pénétrai dans la cours. Magnifique jardin ! Là où filtrait divers faisceaux de lumières entre les fleurs et feuillages. Tout était très éclairé, ce n’était pas étonnant que personne ne venait ici. Vampires capricieux, même pas capable de profiter d’un endroit pareil. Je pris un moment pour tout regarder autour de moi. Un sourire ébahit sur mes lèvres, les yeux brillants d’une façon enfantine. Je longeai le mur glacé, puis reculai de quelques pas. Il avait une fenêtre là, ici, et encore une autre là. Ah ! C’était ma chambre qui se trouvait là ! C’est pourquoi il y avait tant de lumière le matin ! Je gloussai une nouvelle fois.

    Je lançai mon ballon le plus haut que je le pus ! Il heurta le mur de pierres foncées, puis revint. Mes bras levée dans les airs, je tentai de le rattraper au passage. Je reculai, puis reculai. De plus ne plus rapidement mais, mon pied se prit dans une racine un peu trop grosse et je trébuchai. J’ignorai le mal et me retournai vivement, pour apercevoir que mon ballon multicolore était atterri de l’autre côté de la clôture ! Mes grands yeux bleus de remplir d’eau. Mon jouet ! Je me relevai avec peine et accouru aux barreaux de fer. J’y passai mon bras, j’agitai ma main pour l’étirer. C’était sans espoir. La balle était trop loin. Elle était beaucoup trop loin, j’étais beaucoup trop courte ! Il faudrait que je sois un serpent, ou bien une échelle pour pouvoir aller retrouver mon précieux ballon !

    « Monsieur ! Mon ballon ! »

    Un homme passa par-là. Divine expérience. Que pouvait-il bien faire-là ? Jogging matinal, envie d’explorer les bois et la maison hantée ? Je souris. Peut être était-ce là une preuve que je pouvais encore m’amuser avec ma balle, en faisant attention cette fois-ci. J’étais assise dans l’herbe, le visage contre les barreaux, le bras toujours tendu. Mon visage poupin et ma voix fluette me rajeunissaient considérablement. Je continuai d’agiter ma main dans le vide, énergiquement. Je jetai mon regard océan sur l’homme, une nouvelle fois. Au bord des larmes. Suppliante, un air sévère. Sale petite gamine arrogante. Comme si ma vie en dépendait.

    « Monsieur ! Apportez-moi mon ballon ! … S’il vous plait monsieur ! »
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Troy A. Rodriguez
troy

Troy A. Rodriguez



● Copyright : Telephone (c)

● Age : 30

● JOB : Plein de pouvoir je détiens, sur vos misérables vies ...

● LOGEMENT : Appartement ... A mon grand dam, aucun palais n'a été érigé en mon honneur ...

● YOUR FEAR ? : La peur, c'est à peine assez bon pour les lâches ... Humm, je devrais avoir très peur, à ce compte là, non ?

● YOUR DREAM ? : Un rêve, c'est une illusion.
A quoi bon en avoir, alors, si c'est pour se noyer dans des chimères ? Je préfère les réalités, peut n'importe qu'elles soient ou non matérielles ...


MY LIFE
● A SECRET ?: Un secret que tout le monde connaît n'est plus un secret. si ? ...
● BOOK OF THE CHARACTERE:




Pink Aristocraty [Trooy] Vide
MessageSujet: Re: Pink Aristocraty [Trooy] Pink Aristocraty [Trooy] Icon_minitimeMer 18 Nov - 20:02

    Matin gris. Grisonnant. Noyé dans le brouillard comme un navire chaviré.
    Et il n’aimait pas cela. Mais alors pas du tout. Qui ça lui ?
    Un pâle rayon de soleil parvenait à peine à crever l’atmosphère lourde, ce nuage de brume, tel un enrobage sucré. De bonbon. Rodriguez s’arrêta un instant. Se retourna. Il aurait bien pu rester planté là pendant encore un certain temps, attendant que se lève cette nappe dense et inquiétante. Surnaturelle, presque. Mais il n’avait pas confiance. Ces derniers jours lui avaient apporté son lot inspirateur de rencontres assez hors de commun.
    Se remettant en marche.

    Enfin, depuis qu’il marchait, il ne savait pas exactement où il errait. Il ne voyait que des ombres funestes, des profils incertains, des images obscures, fantaisistes, purs produits de son imagination, peut-être ? Quoi qu’il en soit, il n’avait pas arrêté de marcher. Encore et encore. S’égarant toujours un peu plus. Jusqu’à ce que le sol se dérobe sous les pas. Et qu’il se retrouva avec une cheville foulée, dans un tapis de feuilles mortes. Bien loin du goudron. Il sentait des pierres, trop aigues, s’enfoncer dans son genoux au travers de son jean. Sadiquement.
    Autour du lui, dans cette affable brume, il ne sentait que l’humus humide, cette odeur de forêt, résineuse.

    Embarrassant.

    Il aurait presque préféré se prendre un lampadaire de plein fouet.
    Mais de là, il fallait en venir à avouer qu’il était perdu. Notre petit maire se releva bien bravement, et jeta un coup d’œil à la nature hostile et fermée, autour de lui. Mais jusqu’où allait-elle ? Si proche ou … si loin ? Comment avait-il fait pour se retrouver dans un bois alors qu’il rentrait au centre ville ? Une seule solution se présentait à lui : sens de l’orientation, au moins médiocre, pour le pire … désastreux. Troy écarta sans s’y attarder cette hypothèse et en choisit une autre, imaginaire. Sa raison lui donnait sens. Alors … à quoi bon se concentrer sur l’apparence de la réalité ? Il ne s’était pas perdu : ses petites pattes l’avaient conduit là pour une bonne raison.
    Laquelle ?
    Aucune importance. En attendant, passant à autre chose, Troy tenta de nouveau de jauger son environnement. De plus en plus imperméable, lui semblait-il, à chaque nouvel instant. A chaque seconde, comme si la brume était un monstre taquin, entourant innocemment sa proie, jusqu’à l’obnubiler complètement. Et se saisir enfin d’elle pour la ramener dans sa délicieuse tanière.

    Sa cheville l’élançait, comme une vague brûlure lancinante, latente, tout à la fois là. Et ailleurs. Et absente. Se mettant pourtant en devoir de l’oublier. Bizarre, vraiment. De très fâcheuses coïncidences qui éveillaient un malencontreux chatouillement dans le crâne du jeune maire. Une sonnette d’alarme extrêmement déplaisante. Un carillon funèbre.
    Jusqu’à ce que la brume décide brutalement, sournoisement, de l’éloigner, après avoir mené Troy à vadrouiller une bonne heure sur sa cheville écarlate, dans cette matinée glaciale. Et en plus, il avait faim. Son ventre gargouillait allègrement, se tortillant en tout sens, dans un agréable tumulte impatient. A manger ! A manger !
    Troy se dirigea vers une ombre sage et silencieuse, et s’appuya un instant dessus. Un pin. Inoffensif, et pourtant ? Le calme, la quiétude, étrangement, manquaient de naturel, ayant pour indésirable effet de titiller l’instinct paranoïaque et angoissé du jeune homme. Si, tout compte fait, ce tronc massif n’était qu’un leurre. Un piège ? Pour qui, pour quoi ?

    Troy s’écarta vivement et troua le brouillard plus filandreux sans prévenir, marchant vigoureusement. Il devait bien y avoir quelqu’un dans cette foutue forêt, nom d’un chien. N’importe qui ! Un rat, une bestiole vivante, un meurtrier planqué ! N’importe quoi… Mais rien. Rien que cet éternel labyrinthe où les odeurs se confondaient les unes aux autres, où pas un seul oiseau n’osait faire entendre son chant. Un cauchemar psychédélique, hallucinatoire, irréel. Obsédant.

    Troy s’arrêta un instant. Pour la seconde fois.
    Commençant à réfléchir à sa situation lorsqu’un geste inattendu de cette vie tant attendue. Une balle menaça de le percuter, mais, étonné lui-même de ses réflexes, Rodriguez intercepta l’objet, avec une précision chirurgicale. Interceptant la chose rebondie, si colorée, sortie d’un autre monde entre ses griffes, qu’il enfonça dans la surface. Comme il l’eût fait pour un humain. S’apercevant enfin, d’un œil intrigué et … appréciateur ? qu’il ne s’agissait d’autre chose que d’un balle. Pour enfant ? Un petit teigneux perché sur un arbre, un lutin malicieux ou une créature fabuleuse ayant décidé, après l’avoir bien perdu, de jouer avec son sang-froid ?
    Non.

    Rodriguez se remit en marche dans la direction opposé jusqu’à apercevoir dans la semi-clarté, qui semblait de plus en plus ferme et distincte, dans la brume dilué. Un château ? Ou plutôt Le château. Il était déjà venu ici. Il connaissait ce château, qui ne pouvait jamais qu’éveiller de bons sentiments. Sans pour autant se trouver ravi d’être arrivé aussi loin.
    Néanmoins, cette fois-ci, il n’était pas accompagné du maître des lieux.
    Les vampires au regard de charbon. Il faisait bien malsain de s’attarder dans les parages, pourtant Rodriguez s’en sentait étrangement revigoré. Au moins se trouvait-il prêt d’un lieu de vie. Les vampires, les créatures monstrueuses, chimériques … Que lui importait la nature de ce à quoi il avait à faire tant qu’elles avaient un cœur palpitant. Une vie.
    Pour qu’il ne soit plus seul…

    Mais si c’était, une fois de plus, une illusion ?

    Quand il entendit sa voix.
    Cristalline, légère et fluette comme celle d’une petite fille. Une vampirette ?
    Voilà qui était bien mieux.
    Puis il s’approcha un peu plus.
    Charmante vampirette, en fait. Pas étonnant que les vampires trompent si bien leur monde…

    Devant les barreaux. Les mains tendues de Yulee, telles celles d’une poupée vulnérable, quémandant son dû. Rodriguez approcha le ballon des mains de ce qui était pour lui une enfant, et sitôt qu’il eut touché le bout de ses doigts légers et frêles, il le retira. Sans qu’elle puisse reprendre son précieux butin. Gardant l’arc en ciel pour lui.
    N’y aurait-il pas eu des barreaux le séparant du petit ange, il lui aurait rendu sans poser de questions. Mais, séparé du danger par cette infranchissable clôture… que risquait-il ?

    « Pourquoi vous rendrais-je votre balle ? Vous l’avez égarée. Je l’ai récupérée. Elle est donc à moi, maintenant. déclara t’il, de ce ton odieusement poli. »

    Allons donc, voilà qu’il volait les jouets des enfants, maintenant.
    Quelle honte ! Enfin, sans doute y avait il une nouvelle idée pernicieuse, manipulatrice qui s’échafaudait dans sa cervelle machiavéliquement calculatrice ?
    Vampire ?
    Ami ? Ou ennemi ?
    Peu importait s’il pouvait tirer quelque chose d’elle. C’était une enfant ! Oui, et alors ? Il fallait bien que ces atroces marmots ingrats se montrent tôt ou tard reconnaissants vis-à-vis des adultes, non ?

    « Mais peut-être me l’échangeriez vous contre quelque chose, mademoiselle ? »

    Il semblait gentil. Avec son profil d’ange primitif. Son sourire. Mais ces paroles.
    Après tout … rien n’était gratuit dans la vie … si ?
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Pink Aristocraty [Trooy] Vide
MessageSujet: Re: Pink Aristocraty [Trooy] Pink Aristocraty [Trooy] Icon_minitimeJeu 19 Nov - 5:49

    Comment ? Le vilain monsieur a vraiment osé me dire cela ? C’était ma balle, à moi ! Sur ses mots, j’étirai d’avantage mon bras dans sa direction, un visage légèrement colérique sur le visage. Je n’étais toujours pas dépourvue de mes allures de poupées, je retroussai ma lèvre inférieure en fixant mon jouet. Je passai mon deuxième bras entre les barres de fer, mes longs membres continuant à désirer le pouvoir de l’extension, s’agitant vers l’inconnu. Je m’immobilisai un moment, penchant la tête sur le côté. Tient, il était blessé. Si elle ne craignait pas que Ezequiel se pointe, elle sauterait par-dessus les barreaux et irait donner une méchante leçon à l’homme de l’autre côté. Sale humain arrogant !

    Si seulement j’avais apporté ma tablette à dessins ! J’aurais pu le dessiner sur le sol, envahit par des milliers de serpents ! Ou bien… Ou bien… Aucune idée ne fleurissait dans mon esprit, trop perturbée parce que je n’arrivais pas à attraper mon ballon. Il était là, scintillant de pleins de couleurs ! Dans ses griffes acérées, raaah ! Il était encore pire que les vilains vampires qui s’amusaient à cachés mes choses. Il eut une fine brise qui fit virevolter mes cheveux flamands rose. Je frissonnai au même moment. Je veux ravoir ma balle et pouvoir jouer avec, avant que le froid s’installe pour de bon, et que je doive rentrer à l’intérieur. Monsieur Ezequiel pourrait revenir d’une minute à l’autre, me faire travailler ou accomplir des tâches ; Parce que je flâne ici à la longueur de la journée.

    « J’ai peu de chose à vous offrir en échange, Monsieur. »

    Je ne pouvais pas prendre les trucs des autres vampires et les lui apporter. Je me ferais sévèrement taper sur les doigts si j’osais. Et, mis à part mes robes, mes crayons et mes papiers, j’avais rien. Lorsqu’ils sont venus mes chercher, les méchants vampires, j’ai tout perdu. Mon argent, ma maison, et tout ce qui vient avec ! Je suis dépouillé de tout, pour ne pas que je cause de problème. Mais moi, je demandais juste à être en paix mais… L’homme là bas il m’avait voler ma balle. Je vais aller le dire à Ezequiel !

    Je me levai sur mes longues jambes, replaçant du même coup des pans de ma jupette, rien de bien normal. J’étais vêtue comme les lolitas du Japon. J’aimais se style vestimentaire, parce que c’était celui qui se rapprochait le plus de ce que j’avais connu. Je portais des tons de pêche, rosée et tout ce qui il y a de plus poupée. J’avais même deux couettes bouclées sur le dessus de la tête, l’une ornée de fleurs agencées. C’était comme si je sortais d’un manga, je n’avais rien de réel ! Je soupirai une nouvelle fois, baissant mes prunelles bleutée vers les barres métalliques. J’étais désespérée, peut être arriverais-je à trouver autre chose. Je passai le revers de ma main sur mes paupières. J’étais triste, mais je n’allais pas commencer à pleurer. Je n’étais plus une gamine, voyons ! J’avais plus d’une centaine d’années, je devais arriver à me contrôler !

    « Attendez Monsieur ! Je vais vous apporter quelque chose ! Je ne serai pas longue !»

    J’inspirai profondément, puis tournai les talons pour m’enfoncer dans la verdure, direction Rosaly’s. J’ouvrai rapidement la porte et courrai dans les couloirs, montant les escaliers quatre à quatre. Je trébuchai sur les dernières marches et, étendue sur le sol, je tenais ma jambe le plus fort possible pour atténuer la douleur. Cela fonctionna, étrangement. Je me relevai, rapide comme l’éclair et enfonçai la porte de ma chambre. J’attrapai mon cahier et fit le chemin inverse, retournant dehors où le méchant humain devait m’y attendre.

    J’étais une vraie folle pour courir ainsi dans un lieu pareil. Entre de précieux et anciens meubles qui valaient une fortune, le sol plutôt glissant sous mes souliers de ballerine et ma maladresse apparente. Je quittai l’intérieur bordeaux pour retourner dans le jardin vert et coloré. Je me collai contre la clôture, passant mes bras de l’autre côté. Ceux-ci tenait mon précieux, ma vie. Je ne pourrais vivre sans dessiner, et Ezequiel ne pourrait supporter que je griffonne sur ses murs. Toute mes esquisses, ou presque, se retrouvait entre ses pages qui m’étaient si chères.

    « Tenez Monsieurs, c’est tout ce que je possède ! Mais ne me le prenez pas, sinon je serais très triste. »

    Je continuai de le lui tendre, espérant qu’il oublie mon ballon et me le cède, en échange de quelques coups d’œil sur mes dessins. Je n’aimais pas qu’on regarde mes esquisses, mais je désirais vraiment ravoir mon arc-en-ciel, pour moi toute seule.



    [Draw 01 ; Draw 02 ; Draw 03 ; Draw 04 ; Draw 05 ; Draw 06 ; Draw 07 ; Draw 08 ; Draw 09

    C'est vriament random les dessins que j'ai pris. =P]
    [Disouli TwT J'ai de la misère un peu ses temps-ci. Genre que tout le monde réponds en même temps alors j'ai la tête dans les patates >w< ! Je sais, il n'est pas inspirant UwUMais ne t'en fais pas, je vais m'améliorer au fil du rp ! =3 ]
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Pink Aristocraty [Trooy] Vide
MessageSujet: Re: Pink Aristocraty [Trooy] Pink Aristocraty [Trooy] Icon_minitime

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